Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
2 avril 2019 2 02 /04 /avril /2019 19:38

SUD' AQUI ... LE TRAIN DU QUODIDIEN

  • MOBILITES
  • SCHEMA DIRECTEUR
  • CONTRAT DE PLAN

 

 

 

Nos propositions pour améliorer

les dessertes ferroviaires en Sud Aquitaine

« TGV – INTERCITES – TER – FRET »

 

Compte rendu de la conférence de presse.

Ci-dessous, nous présentons les lignes du "chemin de fer".  C'est le texte remis à la presse, qui a servi de rail au déroulé des exposés développés par  René Ricarrère, Philippe Castay, Michel Poisson, Jean-Alain Laplace, Jean Darraspen et Bernard Defrance  :

René Ricarrère, président

René Ricarrère, président

René Ricarrère :

Il s’agit d’un projet global pour la desserte ferroviaire du Sud Aquitaine et plus particulièrement de la desserte « Béarn – Bigorre » depuis Dax/.

Il s’agit d’un projet nécessaire à l’irrigation du bassin ferroviaire :

« Béarn, Chalosse, Soule, Basse Navarre, Pays Basque, Bigorre ».

Il s’agit d’un projet :

« Me concerne-t’il ? »  OUI

« Nous concerne-t ‘il tous ? » OUI

Philippe Castay

Philippe Castay

Philippe Castay :

  • Diminution des temps de parcours

"En Sud Aquitaine, c’est la voiture qui a l’avantage. Il faut redonner des atouts au train, en fixant comme objectifs :

    • Pau - Bordeaux :                       1 h 40’
    • Orthez - Bordeaux :                   1 h 20’
    • Pau - Bayonne :                           50’

"En TGV, Orthez – Paris pourrait être couvert en 3 h 20’ environ, Pau - Paris en 3 h 40’  et les déplacements vers la Bigorre bénéficieraient directement de ces gains de temps.

  • Amélioration  des dessertes ferroviaires

"Pour les déplacements du quotidien, le train doit couvrir l’amplitude de la journée, doit être fréquent, rapide et ponctuel. Il faut diminuer les temps de parcours et compléter les dessertes pour permettre de se rendre au travail ou sur le lieu d’études, rejoindre Bordeaux ou Paris pour une réunion ou un rendez-vous. Les dessertes actuelles de début de journée et de soirée sont notoirement insuffisantes pour répondre à ces besoins du quotidien."

CONFERENCE DE PRESSE :   L'IDEE D'UN  R.E.R. BEARNAIS FAIT LA UNE !
Michel Poisson

Michel Poisson

 Michel Poisson :

"Dans le but d’utiliser de façon optimale une infrastructure existante pour y transférer un maximum de trafic routier, l’idée est de créer sur la ligne ferroviaire actuelle, sur le modèle de ce qui existe ailleurs en France, une desserte de type RER (Réseau Express Régional) de  l’Est à  l’Ouest du Béarn , c’est à dire entre les gares de  Coarraze-Nay et de Puyoô avec des arrêts aux  gares existantes et de nouveaux arrêts à examiner .   

"L’étude proposée est d’apprécier la fréquentation potentielle d’un tel service, sa faisabilité technique  tant du point de vue de l’intégration dans les trafics TGV , Intercités et TER  ainsi que les aspects économiques induits."

Jean-Alain Laplace

Jean-Alain Laplace

Jean-Alain Laplace :

"Outre ses fonctions spécifiques (transport de voyageurs et de marchandises, sécurité et confort…), la Gare occupe une place stratégique et telle une fenêtre ouverte, elle offre au voyageur une première vision de la ville.

"Pour Orthez, l’objectif est de faire de la Gare et de son Quartier une force d’attractivité économique étant donnée sa remarquable situation géographique (au centre de la ville , du territoire et du département). Pour ce faire, il convient de mettre en œuvre les réalisations suivantes : modernisation et adaptation des équipements, accessibilité urbaine, aires de stationnement, intermodalité, aménagements des terrains.

"Ainsi la Gare et son Quartier deviennent ou redeviennent un « poumon » socio-économique."

Jean Darraspen

Jean Darraspen

Jean Darraspen :

Maire de Tilh, il est le représentant de LGV-Orthez-Oui dans les Landes.

Trait d'union entre Orthez et Dax, il souligne l'intérêt que porte son département pour le ferroviaire. Il est également séduit par l'idée d'un RER béarnais qui , tout naturellement, pourrait s'étendre vers la Chalosse en direction de Dax.

Bernard Defrance

Bernard Defrance

Bernard Defrance :

A l'écoute et au contact des usagers du train, il fait remonter auprès de LGV-Orthez-Oui  les doléances et suggestions diverses pour améliorer les dessertes.

CONFERENCE DE PRESSE :   L'IDEE D'UN  R.E.R. BEARNAIS FAIT LA UNE !
CONFERENCE DE PRESSE :   L'IDEE D'UN  R.E.R. BEARNAIS FAIT LA UNE !
CONFERENCE DE PRESSE :   L'IDEE D'UN  R.E.R. BEARNAIS FAIT LA UNE !
CONFERENCE DE PRESSE :   L'IDEE D'UN  R.E.R. BEARNAIS FAIT LA UNE !
CONFERENCE DE PRESSE :   L'IDEE D'UN  R.E.R. BEARNAIS FAIT LA UNE !
CONFERENCE DE PRESSE :   L'IDEE D'UN  R.E.R. BEARNAIS FAIT LA UNE !
Journal Sud-Ouest

Journal Sud-Ouest

Sud-Ouest (Franck Meslin)

L’association a dévoilé, vendredi, ses propositions pour développer la desserte ferroviaire Béarn-Bigorre-Chalosse-Pays basque. Une vision de l’avenir sollicitée par la SNCF
Pour les membres de l’association LGV-Orthez oui, le train doit devenir le moyen de transport du quotidien pour tous. Et les défenseurs de la ligne Dax-Orthez-Pau depuis dix ans ne manquent ni d’idées, ni d’arguments pour étayer leur vision. Sollicitée par la SNCF dans le cadre de l’élaboration des schémas directeurs des lignes du Sud de l’Aquitaine, l’association a consulté usagers et institutions depuis deux mois. Sur le point de remettre leur copie, ces lobbyistes présidés par l’ancien maire, René Ricarrère, ont dévoilé, vendredi, leurs premières propositions.
Une stratégie déclinée en trois axes afin de placer le train en tête des moyens de transport, actuellement occupée par la voiture. « La première condition pour changer les habitudes est de proposer des temps de déplacement compétitifs », pose Philippe Castay, directeur honoraire de la SNCF, ancien patron de la flotte TGV.
 
L’ambition est ainsi de réduire la liaison entre Pau et Bordeaux à 1 h 40, celle de Pau à Bayonne à 50 minutes. Orthez ne serait ainsi plus qu’à 3 h 20 de Paris en TGV. « Pour les déplacements du quotidien, le train doit couvrir l’amplitude de la journée. Il doit être fréquent, rapide et ponctuel », poursuit-il. Pour l’expert de l’association, les usagers doivent ainsi pouvoir monter dans un train de 6 heures à 21 heures, au moins.
Quant à la fréquence, ce n’est rien de moins qu’un train toutes les demi-heures, aux heures de pointe, et toutes les heures, en période creuse, que défend l’association. « Pour transférer un maximum de trafic routier, l’idée est de créer un RER béarnais », résume Michel Poisson, ancien ingénieur d’Alstom.

Le directeur bientôt à Orthez

Soit une desserte de 71 kilomètres reliant Puyoô à Coarraze-Nay, sur la ligne existante, en s’arrêtant aux gares d’Orthez, Lacq, Artix, Denguin, Lescar, Pau et Bordes-Assat. Une ambition qui impliquerait de doubler le nombre de trains circulant actuellement sur cet axe. Au bas mot, ce futur RER béarnais serait susceptible de s’adresser à une population de 120 000 habitants.
« Notre rôle est de livrer une vision globale et cohérente pour cette ligne, qui corresponde aux besoins afin que nos propositions soient intégrées à l’étude pour la modernisation de la voix. À elle, ensuite, d’en définir les modalités et de chiffrer les investissements », indique René Ricarrère. Et le président de se réjouir de recevoir prochainement à Orthez le nouveau directeur de SNCF Réseau Nouvelle-Aquitaine, l’Orthézien Jean-Luc Gary, pour échanger sur le dossier.
Enfin, l’association milite auprès des collectivités pour investir dans l’amélioration des environs de la gare. « Cette zone a les atouts pour devenir un poumon socio-économique de la ville », estime Jean-Alain Laplace, trésorier de l’association.
Autour de la gare, qui accueille actuellement 160 000 voyageurs par an, l’association suggère un développement du stationnement et des interconnexions avec d’autres moyens de transport. Les schémas directeurs des lignes, qui définiront les investissements pour la prochaine décennie, devraient être rédigés d’ici la fin de l’année
Journal La République et journal Eclair des Pyrénées

Journal La République et journal Eclair des Pyrénées

Pyrénées-Presse (Arnaud Rossignon)

Invitée par la SNCF à livrer sa vision de l'avenir de la desserte ferroviaire Béarn-Bigorre-Chalosse-Pays basque, l'association LGV-Oui a dévoilé vendredi ses propositions. 

Pour nourrir la réflexion de la SNCF, engagée dans l'élaboration des schémas directeurs des lignes du sud de l'Aquitaine qui définiront ses investissements pour la décennie à venir, l'association LGV-Oui a des idées. Plein d'idées. Après deux mois de consultations, la structure présidée par l'ancien maire d'Orthez René Ricarrère a en effet dévoilé ses premières propositions. Une stratégie déclinée en trois axes, destinés à permettre l'amélioration de la desserte du pays basque à la Bigorre, du Béarn à la Chalosse.

Pour l'association, l'avenir ferroviaire passe ainsi tout d'abord par l'amélioration de la compétitivité du train face à la voiture. Une volonté qui passe par une diminution ambitieuse des temps de parcours, en ramenant un Pau-Bordeaux à 1h40, un Orthez-Bordeaux à 1h20 ou un Pau-Bayonne à 50 minutes. Mais aussi par une extension de l'amplitude horaire de service, avec des trains circulant au minimum de 6h à 21h. 

Dans l'optique de favoriser un usage quotidien du train, les membres de l'association défendent notamment la création d'un "RER béarnais". Soit une ligne de 71 kilomètres, courant de Puyoô à Coarraze-Nay, "avec un train toutes les demi-heures en période de pointe et toutes les heures en période creuse". Une initiative qui permettrait d'intéresser à ce mode de transport environ 120 000 habitants - estimation basse-, avec des haltes envisagées à Orthez, Lacq, Artix, Denguin, Lescar, Pau, Bordes-Assat (à proximité de Safran) et Coarraze-Nay. "Cela représente environ douze trains de plus par jour sur cette ligne", précise le Palois Michel Poisson, ancien ingénieur d'Alstom et membre de l'association, convaincu de la viabilité du projet.

Enfin, l'association plaide pour investir dans l'amélioration des environs des gares, avec un souci particulier apporté au stationnement et aux interconnexions avec d'autres moyens de transport. Il ne reste donc plus qu'à voir quel sort la SNCF réservera à ces préconisations.

 

L'ECHO BEARNAIS (Jean-François  Moulia)

L'Echo Béarnais, l'hebdo du mardi

L'Echo Béarnais, l'hebdo du mardi

CONFERENCE DE PRESSE :   L'IDEE D'UN  R.E.R. BEARNAIS FAIT LA UNE !
Partager cet article
Repost0

commentaires

N
Dans ce projet, ne pas oublier des gares comme Boeil-Bezing et Baudreix, fermées depuis 40 ans, mais qui ne nécessitent pas de gros investissements. A cette faible distance de Pau, il ne faut pas avoir peur de multiplier les arrêts: Les haltes draineront des piétons et des vélos à 1 km à la ronde. C'est comme ça que raisonnent les allemands, qui ont 20 ans d'avance sur nous.
Répondre
N
Dans ce projet, ne pas oublier des gares comme Boeil-Bezing et Baudreix, fermées depuis 40 ans, mais qui ne nécessitent pas de gros investissements. A cette faible distance de Pau, il ne faut pas avoir peur de multiplier les arrêts: Les haltes draineront des piétons et des vélos à 1 km à la ronde. C'est comme ça que raisonnent les allemands, qui ont 20 ans d'avance sur nous.
Répondre
N
Dans ce projet, ne pas oublier des gares comme Boeil-Bezing et Baudreix, fermées depuis 40 ans, mais qui ne nécessitent pas de gros investissements. A cette faible distance de Pau, il ne faut pas avoir peur de multiplier les arrêts: Les haltes draineront des piétons et des vélos à 1 km à la ronde. C'est comme ça que raisonnent les allemands, qui ont 20 ans d'avance sur nous.
Répondre
N
Dans ce projet, ne pas oublier des gares comme Boeil-Bezing et Baudreix, fermées depuis 40 ans, mais qui ne nécessitent pas de gros investissements. A cette faible distance de Pau, il ne faut pas avoir peur de multiplier les arrêts: Les haltes draineront des piétons et des vélos à 1 km à la ronde. C'est comme ça que raisonnent les allemands, qui ont 20 ans d'avance sur nous.
Répondre
N
Dans ce projet, ne pas oublier des gares comme Boeil-Bezing et Baudreix, fermées depuis 40 ans et qui ne nécessitent pas d'investissement pharaoniques. A cette distance de Pau, il ne faut pas avoir peur de multiplier les arrêts, les haltes drainent piétons et vélos à 1 km à la ronde. C'est comme ça que font les allemands qui ont 20 ans d'avance sur nous.
Répondre

Présentation

  • : LGV-ORTHEZ-OUI
  • : Association (loi 1901) dont l'objet est la défense de la desserte ferroviaire Béarn – Bigorre par l’amélioration, aux normes LGV, de la ligne SNCF existante : Dax – Orthez – Pau – Tarbes
  • Contact

LE POTENTIEL ECONOMIQUE DE LA GARE d'ORTHEZ : UN ATOUT A SAISIR !

LES FRICHES INDUSTRIELLES AUTOUR DE LA GARE d'ORTHEZ, SUR LES DEUX RIVES DU GAVE RELIEES PAR UNE PASSERELLE, REPRESENTENT UNE RESERVE FONCIERES EXCEPTIONNELLE.

Cliquer  ICI

 

LGV-ORTHEZ-OUI et le DEPARTEMENT des LANDES SUR LA MEME LIGNE

Ils  sont sur les mêmes rails. Ils défendent un projet fédérateur qui ne laisse personne sur le quai.

Cliquer ici

COMMENT ADHERER ?

Pour faire partie de l'association, adresser un chèque de 20€ avec nom, prénom et adresse postale (également adresse mail si possible) à LGV-Orthez-Oui, 5, rue Frédéric Mistral, 64300 Orthez

Cliquer  ici

Catégories

Liens